évolution de la consommation d'énergie dans le monde

Lorsqu'il s'agit de convertir une énergie électrique exprimée en kWh (ou ses multiples) en énergie primaire exprimée en tep, on rencontre couramment deux méthodes : La méthode retenue par les institutions internationales (AIE, Eurostat...) et utilisée en France depuis 2002, est assez complexe en ce qu'elle utilise deux méthodes différentes et deux coefficients différents selon le type d'énergie primaire ayant produit l'électricité : Par contre, l'Energy Information Administration américaine et les statistiques de BP adoptent la méthode de substitution. 9 %. Au-delà de cinq ans, à moyen et long terme donc, on constate que la corrélation est de moins en moins bonne à mesure que le terme augmente. Plus de la moitié de cette demande supplémentaire proviendrait des pays asiatiques en cours de développement. Au-delà de cinq ans, à moyen et long terme donc, on constate que la corrélation est de moins en moins bonne à mesure que le terme augmente. Vers 400 000 avant notre ère, les hommes préhistoriques apprennent à utiliser du bois pour faire du feu : ils peuvent désormais se chauffer, s’éclairer, faire cuire leur nourriture et éloigner d’eux les bêtes sauvages ! Chaque type d'énergie possède son unité privilégiée, et c'est pour les agréger ou les comparer que l'on utilise les unités de base que sont le joule et le Mtep ou parfois le kWh, toute énergie primaire étant assez souvent convertie en électricité. Ce graphique, pris sur une période longue (1965-2003), présente l'évolution de la consommation d'énergie primaire dans le monde. L'énergie dite « finale » est celle qui est utilisée à la satisfaction des besoins de l’homme. L'évaluation de leur potentiel se fait donc non en termes de réserves, mais en considérant le flux énergétique potentiel que peut fournir chacune de ces sources d'énergies. On voit, sur le long terme, qu’il est l’effet de quatre tendances lourdes : A ces 4 tendances, se rajoute une cinquième : la volonté politique d’agir contre le réchauffement climatique (COP21) par un contrôle des émissions de gaz à effet de serre, c’est à dire, de façon dominante, le dioxide de carbone dégagé par la combustion des énergies fossiles et de la biomasse. La demande mondiale d'électricité devrait bondir de 60 % et représenter près d'un quart de la demande totale d'énergie contre 19 % en 2017 ; la demande de charbon et de pétrole devrait reculer ; la part des énergies renouvelables pourrait atteindre 40 % en 2040 contre 25 % en 2017. Data and statistics : World - Balances 2018, Les énergies renouvelables bientôt aussi rentables que les énergies fossiles polluantes, L’électricité d’origine éolienne aussi compétitive que celle des centrales à gaz, Data and statistics : World : Electricity 2018, Les pays émergents vont faire exploser la demande d'électricité, Approximated EU GHG inventory: early estimates for 2012, Commissariat général au développement durable, Ministère de la Transition écologique et solidaire, CO2 Emissions from Fuel Combustion 2019 Highlights, Climat : pétrole, gaz et charbon doivent rester sous terre, Nous devons laisser deux tiers des énergies fossiles dans le sol, Liste de pays par consommation d'électricité, BP Statistical Review of World Energy 2009, Définitions et statistiques sur l'énergie. Il est vrai que les pays intermédiaires doivent faire face à la fois à une forte demande d’investissement en infrastructures, bâtiments et usines, à une forte demande de biens de consommation de la partie de leur population qui s’enrichit et parfois la délocalisation, par les pays anciennement développés, des industries gourmandes en énergie. La production énergétique mondiale (énergie primaire) s'élevait selon l'Agence internationale de l'énergie à 14,28 milliards de tep en 2018 contre 6,1 Mds tep en 1973. L'UE veut aussi renforcer l'accès pour tous à l'information individuelle sur nos consommations d'énergie (dont pour le chauffage collectif, la climatisation et l'eau chaude). Dans son scénario de référence, l’EIA estime que la consommation mondiale d’énergie pourrait fortement croître dans les prochaines décennies : elle pourrait passer de 549 milliards de MBtu (le « British Thermal Unit » est une unité d’énergie fréquemment employée dans le monde anglo-saxon (1)) en 2012 à 629 milliards de MBtu en 2020 et 815 milliards de MBtu en 2040, soit une hausse de 48% en moins de trois … Le cas de la Norvège est très spécifique : son taux de consommation électrique est très élevé du fait de la présence d'industries électro-intensives (fonderies d'aluminium) attirées par l'abondance de ressources hydroélectriques à bas coût. Dans les pays pauvres, la relation entre consommation et PIB est controversée et pourrait être due à la mauvaise connaissance des consommations exactes. La production mondiale d'énergie commercialisée était en 2019, selon BP, de 584,9 Exajoules, en progression de 12,1 % depuis 2009. Répartition de la consommation Cette statistique ne prend pas en compte les énergies auto-consommées (bois, pompes à chaleur, solaire thermique, etc. La prochaine frontière pour l'histoire des renouvelables est d'étendre leur usage dans les secteurs de l'industrie, du bâtiment et des transports où existent d'énormes potentiels de croissance »[22]. Les 4 premiers pays concentrent 57,4 % des réserves. Ainsi la consommation par habitant reste-t-elle très variable d’un pays à l’autre, comme le montre le graphique suivant. La consommation de l’Afrique a augmenté de 50% de 1990 à 2008, mais est restée marginale dans la consommation mondiale (environ 5,7% pour plus de 15% de la population mondiale). Dans le secteur des transports, l’augmentation de la consommation en 2011 se démarque des baisses de ces dernières années (-1,1 % en 2009, -0,8% en 2008). L'Agence internationale de l'énergie avait déjà préconisé, en 2012, de laisser dans le sol plus des deux tiers des réserves prouvées de combustibles fossiles, car notre consommation, d'ici à 2050, ne devra pas représenter plus d'un tiers des réserves prouvées de combustibles fossiles afin de ne pas dépasser les 2 °C de réchauffement global maximal d'ici la fin du siècle[30]. Les émissions de CO2 par habitant en 2018 étaient estimées à 4,42 tonnes en moyenne mondiale, 15,03 tonnes aux États-Unis, 8,40 tonnes en Allemagne, 4,51 tonnes en France, 6,84 tonnes en Chine (surtout dans l'industrie qui produit en grande partie pour les consommateurs américains et européens...), 1,71 tonnes en Inde et 0,98 tonnes en Afrique[s 3]. Celles-ci sont environ 2 fois plus gourmandes en énergie par dollar que la moyenne mondiale. A l’échelle mondiale, on assiste à une transformation de plus en plus poussée de l’énergie avant  sa consommation finale, puisque la part de l’électricité, énergie secondaire, progresse dans la consommation finale. conversion des productions électriques. La consommation d’essence dans un moteur de voiture est comptée dans la consommation finale. Le paysage de la consommation d’énergie pose les termes d’une problématique complexe, différente à court terme et à long terme. Dans le cadre des négociations internationales sur le climat, tous les pays se sont engagés à maintenir la hausse des températures en deçà de 2 °C par rapport à l'ère préindustrielle. Les investissements dans les énergies renouvelables ont reculé de 3 %, mais les mises en service ont progressé en cinq ans de 50 % et la production correspondante de 35 %[16],[17]. Ce thème fait l’objet d’une partie dédiée dans le bilan annuel de l’énergie de la France et de publications ponctuelles. Consommation d'énergie finale dans le monde en 2007 Enjeux énergétiques bâtiment dans le monde Poids dans la consommation d’énergie Maroc: 36 % . L'Agence internationale de l'énergie fournit les estimations suivantes : Une part importante des énergies primaires est convertie en électricité ou en chaleur de réseau et est donc consommée sous ces deux formes. Production éolienne annuelle sur la base d'un, « inépuisables à l'échelle du temps humain », « les renouvelables font de très grands progrès sur les prochaines décennies mais leurs gains restent largement confinés à la production d'électricité. Pour le solaire, les réserves indiquées correspondent aux potentiels annuels disponibles sur toute la surface terrestre, alors que pour les autres énergies seules les réserves prouvées et économiquement exploitables sont prises en compte. La consommation 2011 fut au même niveau qu’en 2002. Pour cela la législation sur la construction des bâtiments et sur les énergies renouvelables a été précisée et l'UE envisage de pousser à améliorer l'efficacité énergétique des appareils électro-ménagers et des chauffe-eau. Au Néolithique, entre 9000 et 3300 ans avant notre ère, les hommes commencent à cultiver la terre et domestiquent des animaux qui, pour certains, devienn… Au total, la part des énergies renouvelables dans la production d'énergie mondiale est donc supérieure à 20 %. Cette durée est très variable selon le type d'énergie : 50 ans pour le pétrole et pour le gaz naturel, 132 ans pour le charbon, 128 ans pour l'uranium avec les techniques actuelles. Scénario 3 : L'énergie suit le tendanciel de forte augmentation du prix de l'énergie de 8% /an. On arrive alors à une potentiel énergétique solaire théorique sur un an de 1 070 000 PWh. 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 11 628, 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 1,428 6, 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 1 000, 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 7,33, la méthode théorique ou « énergie finale » : on calcule simplement le nombre de tep selon l'équivalence physique en énergie, la méthode de « l'équivalent à la production » ou « méthode de substitution », qui indique le nombre de tep nécessaires à la production de ces kWh. En 2019, le Royaume-Uni atteint 2,0 % du total mondial, l'Espagne 2,1 % et l'Inde 1,6 %. La corrélation entre le PIB et la consommation intérieure des pays n’est pas parfaite, les points du graphique n’étant pas complètement alignés sur la droite de tendance et formant un nuage statistique assez étalé. Notons toutefois que la consommation d’énergie par habitant de l’Inde devrait alors encore rester 40% en dessous de la moyenne mondiale en 2040. Cette évolution est la combinaison de la stagnation depuis 10 ans de la consommation des pays anciennement industrialisés, représentés par le groupe des pays de l’OCDE, et des nouvelles économies qui sont en forte croissance. L’explication est qu’à court terme, les habitudes de consommation et les outils de production n’ont pas le temps de s’ajuster, mais dès le moyen terme, il faut chercher d’autres explications, telles un mouvement de réduction de « l’intensité énergétique ». Abonnez-vous gratuitement aux newsletters, Consommation d'énergie finale dans le monde. Ce fut un progrès fondamental pour l’évolution de l’humanité. L’Asie ne comprend pas la Chine. Les émissions de CO2 par habitant en 2018 sont estimées à 4,42 tonnes dans le monde, 15,03 tonnes aux États-Unis, 8,40 tonnes en Allemagne, 4,51 tonnes en France, 6,84 tonnes en Chine, 1,71 tonnes en Inde et 0,98 tonnes en Afrique. La consommation mondiale d' énergie primaire a encore reposé à 81,4% sur les énergies fossiles en 2015 selon les dernières données de l’AIE. Depuis la fin des années 90, la consommation finale d’énergie mondiale est bien tirée par le PIB mondial, sous l’effet du rattrapage du niveau de vie des pays intermédiaires. L’augmentation découle notamment de la reprise du fret ferroviaire : + 13,9% , puis -6,7% en 2010. Intensité énergétique pour le monde en unités d’énergie consommées par $ US de PIB (©Connaissance des Énergies, d'après source : Energy Independant Agency). En effet, les modèles industriels sont globalement très énergivores dans nos sociétés. Afin de mieux mettre en évidence le comportement de consommation d’énergie finale des pays ou groupes de pays et leur tendance longue, les économètres se réfèrent à « l’intensité énergétique » exprimée en unités d’énergie consommée par unité monétaire de PIB, donc de production intérieure au pays. Joe Biden : la réintégration des États-Unis dans l’accord de Paris, et après ? ), qui selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE) représentaient 9,3 % en 2018. L'énergie sous toutes ses formes : définitions, Efficacité énergétique : l'AIE souligne l'urgence de relancer les investissements, EDF au cœur de 3 grandes interrogations en suspens…, Économie « bleue » : le potentiel des énergies marines, produits pétroliers raffinés dont les carburants automobiles, c’est une loi fondamentale de la physique, les transports (privés et professionnels), la volonté politique d’agir contre le réchauffement climatique (COP21), L’Agence internationale de l’énergie (AIE) publie chaque année son recueil « Key World Energy Statistics » qui délivre les grandes données relatives à l’énergie dans le monde…, L’énergie primaire désigne les différentes sources d’énergie disponibles dans la nature avant transformation. Elle est égale à la consommation d’énergie primaire moins toutes les pertes d’énergie au long de la chaîne industrielle qui transforme les ressources énergétiques en énergies utilisées dans la consommation finale. La gestion de l'énergie. Pour permettre la consommation finale de ces 9 milliards de tep, il a fallu « produire » près de 13,4 Gtep d’énergie primaire, comprenant notamment l’énergie utilisée pour transformer les ressources initiales. La consommation finale d'énergie Il est prévu que la croissance de la consommation finale d'énergie se situe aux alentours de 2 % par an avec un secteur qui évoluerait plus que les autres : les transports (de l'ordre de 2,4 % par an) ; la part de ce secteur dans la consommation finale devrait passer de 28 % en 1997 à 31 % en 2020 (WEO). La France ou la Suède visent déjà −35 %. Les surfaces utilisables pour le solaire se limitent aux déserts, aux toits de bâtiments et autres surfaces déjà stérilisées par l'activité humaine (routes, etc). La consommation énergétique mondiale était de 533 x 10 18 J en 2010. La Chine est le 1er consommateur d'énergie dans le monde, une donnée à pondérer par son nombre d'habitants. Selon le scénario de référence de l’EIA, la consommation mondiale d’énergie primaire pourrait ainsi augmenter de 46,9% entre 2018 et 2050. Le ratio entre l’énergie secondaire produite et l’énergie primaire utilisée s’appelle le « rendement » de l’unité de transformation d’énergie. Par contre, l'énergie solaire thermique (chauffe-eau solaire, chauffage de piscines, chauffage collectif, etc. Les auteurs y ont réunis toutes les séries chronologiques connues sur la production de houille, lignite (browncoal), gaz naturel, pétrole brut et électricité, en unités spécifiques puis en tonnes équivalent charbon (tec). de l'Union européenne sont imputables pour environ 80 % à la production et à la consommation d'énergie[26] ; cet indicateur n'est pas disponible au niveau mondial. Évaluation du potentiel éolien technique mobilisable réalisée en 2003 par le Conseil consultatif allemand sur le changement global (WBGU). Sa répartition par secteur était : industrie 29 %, transports 29 %, résidentiel 21 %, tertiaire 8 %, agriculture et pêche 2 %, usages non énergétiques (chimie, etc.) Cette amélioration de l’efficacité énergétique est souvent attribuée à la pression politique sur les agents économiques liée aux programmes nationaux, régionaux ou mondiaux de lutte contre le réchauffement climatique. La part de l’énergie nucléaire reste pour sa part relativement stable (4,4% en 2017). Ces objectifs pourraient éventuellement être revus à la hausse en 2023, mais il « restera dans les livres d'histoire comme une opportunité manquée malgré les meilleurs efforts du Parlement européen et de plusieurs Etats membres progressistes » juge Imke Lübbeke du WWF (citant l'Italie et l'Espagne qui ont poussé à plus d'ambition)[23]. Quelle consommation énergétique dans le monde ? Mais il suffirait de couvrir 0,3 % des 40 millions de km2 de déserts de la planète de centrales solaires thermiques pour assurer les besoins électriques de la planète en 2009 (environ 18 000 TWh/an)[15]. ex., pour 1 TEP sous forme d'électricité consommée chez soi, le producteur a brulé 2,5 TEP dans sa centrale à charbon, type de centrale actuellement le plus répandu dans le monde). La liste ci-dessous, tirée des statistiques de l'AIE, ne prend en compte que les pays de plus de 50 millions d'habitants ainsi que les pays européens de plus de 10 millions d'habitants ; les statistiques de l'AIE englobent la quasi-totalité des pays du monde. Selon le Dr Fatih Birol, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie, « les renouvelables font de très grands progrès sur les prochaines décennies mais leurs gains restent largement confinés à la production d'électricité. La production hydroélectrique varie fortement d'une année à l'autre en fonction des précipitations : ainsi, la production brésilienne a connu en 2011 un record de 428,3 TWh, suivi d'une série d'années sèches avec un minimum de 359,7 Mtep en 2015 (−16 %), malgré la mise en service de nombreux barrages dans l'intervalle ; la production des États-Unis a connu un bond de +23 % en 2011 suivi d'une chute de −13 % en 2012. Si l’on met à part ses utilisations imagées comme « un homme plein d’énergie »…, L’Agence Internationale de l’Énergie (AIE ou IEA en anglais) est une organisation intergouvernementale autonome rattachée à l’OCDE…, Iran: les nouvelles cascades de centrifugeuses de Natanz "profondément préoccupantes" pour Paris, Londres et Berlin, Nucléaire iranien: Téhéran traite par le mépris les exigences de Ryad, Méditerranée orientale: Erdogan appelle à une "formule gagnant-gagnant", Novembre 2020, le plus chaud jamais enregistré dans le monde, Novembre 2020, le plus chaud mois de novembre jamais enregistré dans le monde selon le service européen Copernicus, Nord Stream 2 sur le point d'être relancé malgré l'opposition américaine. Au niveau mondial, les émissions de CO2 liées à l'énergie ont atteint en 2019, selon les estimations de BP, 34 169 Mt, en hausse de 0,4 % par rapport à 2018 ; elles ont progressé de 10 % depuis 2010 et de 60 % depuis 1990. Examinons, par exemple, le cas du Royaume-Uni : on voit que la consommation d’énergie n’augmente pratiquement pas sur 40 ans, tandis que le PIB (GNP) est multiplié par environ 2,5 (2,3% par an de croissance moyenne). Elle se répartissait en 33,1 % de pétrole, 27,0 % de charbon, 24,2 % de gaz naturel, 4,3 % de nucléaire et 11,5 % d'énergies renouvelables (hydroélectricité 6,5 %, éolien 2,2 %, biomasse et géothermie 1,0 %, solaire 1,1 %, agrocarburants 0,7 %). Dans une étude de 2009, le Potsdam-Institut für Klimafolgenforschung démontrait qu'il ne fallait pas émettre plus de 565 gigatonnes de CO2 d'ici à 2050 pour avoir quatre chances sur cinq de ne pas dépasser la barre fatidique des 2 °C[31]. Evolution de la consommation d'énergie par région (d'après données AIE). Cette rubrique présente des données, des statistiques et des analyses sur la consommation d'énergie des ménages. Consommation d’énergie primaire et finale. Les deux dernières forment les réserves à découvrir : 5 112 kt. En 2018, l'énergie finale consommée dans le monde s'élevait à 9 938 Mtep contre 4 660 Mtep en 1973, en progression de 113 % en 45 ans[s 2].

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