libye guerre 2020

Malheureusement, nous notons que certains pays sont hésitants à nommer cette attaque pour ce qu’elle est Â»[86]. Assurer la sécurité des habitants et protéger leurs biens, ainsi que toutes les institutions de la capitale, relèvent de votre devoir Â»[72]. Libye : la guerre qui menace la France La France et l’Europe ont sous-estimé la poudrière libyenne. Le 28 février 2019, lors de négociations à Abou Dabi, le Gouvernement d'union nationale et le Gouvernement de Tobrouk concluent un accord sur l'organisation d’élections en Libye[37]. Le 18 mai, malgré l'embargo sur les armes décrété en 2011 par l'ONU, une trentaine de véhicules blindés BMC Kirpi (en) sont livrés au grand jour par la Turquie dans le port de Tripoli et immédiatement envoyés sur le front[140],[141],[47]. Le 8 janvier, il déclare que 35 militaires turcs sont en Libye, mais que leur rôle est de conseiller et de former les forces du GNA et non de prendre part aux combats[5]. Bien au contraire, pendant que le monde entier se retrouve engagé dans la lutte contre le Covid-19, les combats entre les deux camps rivaux se poursuivent en Libye, sans aucun égard pour la population civile. Le porte-parole de l'ANL, Ahmad Al-Mesmari, déclare alors : « Nous avons remporté la bataille politique et nous avons convaincu le monde que les forces armées (de l'ANL) combattent le terrorisme Â»[94]. Le lendemain, le Parlement de Benghazi rompt ses relations avec la Turquie[191]. Début mai, les bombardement tuent au moins 17 civils et en blessent 66 autres[222]. Leurs unités sont signalées à El Azizia, Janzour, Sabratha et Zaouïa[6]. Le lendemain, une dizaines de roquettes s'abattent sur la capitale[221]. Le lendemain, l'ANL reconnaît 14 morts dans ses rangs[44]. De la fumée monte des rues de Tripoli, en Libye, après une attaque, le 18 février 2020. Le campa avait été touché une première fois par un raid aérien le 7 mai et deux personnes avaient été blessées[149]. La pression locale et internationale les aurait alors contraints au cessez-le-feu et Khalifa Haftar aurait pu se servir de sa position nouvellement acquise à Tripoli comme d’un tremplin, la transformant en pouvoir politique à l’occasion d’une conférence nationale prévue mi-avril, sous l’égide de l’ONU. Le 6 juin 2020, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi lance un appel à un cessez-le-feu[236]. Le 12 avril, un avion de l'ANL bombarde pour sa part un camp d'une milice du GNA à Zouara[114]. Le 5 avril, le porte-parole de l'ANL, Ahmad al-Mesmari, reconnaît cinq morts et 128 prisonniers au cours des combats livrés depuis la veille[15]. Le soir du 16 avril, des roquettes s'abattent dans le centre-ville et des quartiers du sud de Tripoli, faisant six morts et 35 blessés[90]. Les combats les plus importants ont alors lieu dans les environs d'al-Hira, entre El Azizia et Gharyan[125]. Le 12 décembre 2019, Khalifa Haftar annonce avoir donné l'ordre de lancer la « bataille finale Â» pour le contrôle de Tripoli[175],[176]. Plusieurs sites d'information et de pages des réseaux sociaux ont relayé ce lundi des images satellites de certaines installations militaires au sud de la ville de Misrata, en Libye. Début mai, les combats se poursuivent à Aïn Zara, ainsi qu'à Salaheddine et Khalat al-Ferjan, situés à 20 kilomètres du centre-ville ; autour de l'aéroport, à 30 kilomètres de Tripoli ; et au nord de la ville de Gharyan, à 80 kilomètres au sud-ouest de Tripoli[25]. [...] Certains ont été emprisonnés dans les années 90 pour terrorisme, d’autres appartiennent au mouvement des Frères musulmans Â», « accepter une trêve humanitaire pour les jours de fête d'Al-Adha Â», « toutes les zones de combats, avec cessation des tirs directs et indirects et de tout mouvement de troupes Â», « l'interdiction des vols et des survols de reconnaissance dans la totalité de l'espace aérien ainsi que de tout départ d'avion des bases aériennes Â», « probablement le plus grand théâtre de guerre de drones au monde Â», « L'heure zéro a sonné pour l'assaut large et total attendu par tout Libyen libre et honnête Â», « Nous sommes prêts à repousser toute nouvelle tentative folle du putschiste Haftar Â», « activer les accords de coopération en matière de sécurité Â», « hommes et femmes, militaires et civils, pour défendre notre terre et notre honneur Â», « ne [lui] permet plus de subir autant de stress Â», « 37 attaques sur des personnels et des installations de santé ont été enregistrées, faisant 11 morts, 33 blessés en plus de 19 ambulances directement ou indirectement touchées Â», « Le maréchal Haftar et son ANL qui tablaient sur une victoire rapide "sans combats" en nouant des alliances avec des factions de la Tripolitaine semblent surpris par la mobilisation pro-GNA Â», « Cette guerre n’était pas le scénario privilégié par Khalifa Haftar. Selon Jalel Harchaoui, chercheur à l'Institut Clingendael de La Haye, Ankara « souhaite se projeter comme une puissance capable de venir sauver le pluralisme politique d'une agression menée par le Golfe et l'Égypte, lesquels préfèrent un autoritarisme strict à l'autoritarisme populiste d'Erdogan Â»[136]. La 7e brigade était auparavant affiliée au GNA, mais des tensions avec les milices de Tripoli avaient dégénéré en conflit en août 2018[62]. Fayez el-Sarraj déclare au journal Le Monde le 23 avril : « Nous sommes satisfaits de la condamnation de l’attaque de Tripoli exprimée par certains pays. Ras Jedir, le poste frontière avec la Tunisie au nord-ouest de la Libye, jusque-là contrôlé par les forces du GNA, serait également menacé. Il pourrait s'agir d'ex-janjawid autonomes de tout leadership soudanais et combattant en tant que simples mercenaires[67]. Le 20 mai, l'ANL annonce un repli de deux à trois kilomètres de toutes les lignes de front afin, selon son porte-parole, de faciliter les déplacements de population pendant le ramadan[224]. Le Conseil de sécurité des Nations unies apparaît pour sa part très divisé[95]. Guerre en libye , Algérie ; Armée industrie / Hydrocarbure 2020 / Turquie / Libye Industrie millitaire Algérie , War Mali , War , Guerre en libye 2020, sommet de Berlin , Algérie Libye … Cependant, il s'avère que les quatre armes anti-chars Javelin avaient appartenu à l'armée française après avoir été achetées en 2010 aux États-Unis[137]. Chaque camp cherche alors à détruire les drones de l'adversaire, ainsi que leurs centres de commandement et leurs bases de décollage[174]. Les forces de l'ANL tentent alors de prendre le contrôle de l'aéroport international de Tripoli[15]. Haftar aurait espéré le ralliement rapide de plusieurs milices du GNA[44]. « Cette dynamique explique pourquoi la situation se détériore si rapidement et pourquoi l’Occident ferme les yeux. Celle-ci dément en accusant le GNA de « fomenter un complot Â»[147]. Fayez el-Sarraj déplore également l'attitude « peu claire Â» de la France[86]. La ville de Zinten est également divisée, alliée d'Haftar en 2014 elle avait ensuite rallié Sarraj en 2016 lors de la formation du GNA[6],[49]. Son plan initial était de faire entrer des troupes en petit nombre à Tripoli avant que ses adversaires n’aient le temps de réagir, et d’entraîner la défection et le ralliement à son camp de groupes armés locaux et de responsables sécuritaires. Moins de la moitié de cette flotte provient de l'ancienne armée de l'air libyenne, le reste fut fourni par l'Égypte et les Émirats arabes unis entre octobre 2014 et juin 2015[7]. La pression locale et internationale les aurait alors contraints au cessez-le-feu et Khalifa Haftar aurait pu se servir de sa position nouvellement acquise à Tripoli comme d’un tremplin, la transformant en pouvoir politique à l’occasion d’une conférence nationale prévue mi-avril, sous l’égide de l’ONU. « Les aspirations des puissances régionales sont au cœur du conflit libyen », souligne Tarek Megeresi, chercheur au European Council on Foreign Relations (ECFR). Moustafa al-Mejii, porte-parole du GNA, donne un bilan de 20 morts et plusieurs dizaines de blessés pour l'ANL contre sept tués pour le GNA[170]. Le porte-parole de l'ANL, Ahmad al-Mesmari, reconnait que 128 soldats ont été capturés[15]. Les factions rivales de la Libye se joignent aux grandes puissances allemandes dans une nouvelle tentative d'obtenir un cessez-le-feu pour mettre fin à la guerre civile. L’opération des forces du GNA a, en grande partie, échoué : non seulement, la base aérienne n’est pas tombée entre les leurs mains, mais les forces pro-Haftar en ont profité pour prendre le contrôle de Zilten à l’est de Tripoli et encercler la ville de Zuwara à l’ouest. L'ANL commence également à mener des bombardements aériens contre l'aéroport de Mitiga le 11 août, puis contre l'aéroport de Zouara le 15[166],[167],[168]. Le 5 janvier, le président Recep Tayyip Erdoğan annonce le début des opérations de déploiement des militaires turcs en Libye[192]. Le 6 avril, les combats se poursuivent, notamment dans les environs de Wadi al-Rabi et de Gasr Ben Ghechir[78]. Le 9 avril, les combats et les bombardements aériens se poursuivent à Gasr Ben Ghachir et Wadi al-Rabi, mais aucun camp ne prend véritablement l'avantage[83]. Des conflits sur des retards de paiement des mercenaires sont également mentionnés Â», « selon des sources sur le terrain, le nombre de combattants syriens étrangers soutenant les opérations du maréchal Haftar est de moins de 2 000 Â», « soutenir les autorités libyennes dans leurs actions de pacification et de stabilisation du pays et de contrôle de l'immigration clandestine, des trafics illicites et des menaces à la sécurité, en harmonie avec les lignes d'intervention définies par les Nations Unies Â», « Nous répondons à l'appel de Tripoli. Conseillers militaires, détachements de forces spéciales et mercenaires ont continué à affluer. Selon le communiqué de la maison blanche, les deux hommes ont discuté d'une « vision commune pour la transition de la Libye vers un système politique démocratique et stable Â» et le président Trump a « reconnu le rôle significatif du maréchal Haftar dans la lutte contre le terrorisme et la sécurisation des ressources pétrolières de Libye Â»[91],[94]. La dernière modification de cette page a été faite le 5 décembre 2020 à 23:14. Mais dans l'ensemble, même si les forces du GNA sont parvenues à desserrer un peu l'étreinte de l'ANL lors de la contre-offensive du 20 avril, les fronts restent bloqués[25]. De son côté, Haftar se rend en Égypte rencontrer Abdel Fattah al-Sissi pour la seconde fois depuis le début de son offensive[99],[100]. La trêve demeure cependant fragile, des combats continuent d'éclater ponctuellement dans les jours qui suivent[213]. Mercenaires de l'Armée nationale syrienne, Mercenaires russes, soudanais, tchadiens et syriens, Début avril : combats indécis entre le GNA et l'ANL, Fin juin : reprise de Gharyan par les forces du GNA, Tensions entre la Turquie et l'Armée nationale libyenne, Bombardement d'un centre de détention de migrants à Tajoura, Juillet-août : poursuite de l'offensive de l'ANL depuis Tarhounah, Septembre à novembre : nouvelle accalmie dans les combats, Intervention de la Turquie en janvier 2020, Tentatives de cessez-le-feu entre janvier et mars 2020, De mars à juin 2020 : Victoire des forces du GNA, « Haftar et Sarraj concluent un accord verbal – aucun document écrit n’a été signé – sur un partage du pouvoir en vertu duquel Sarraj conserverait la tête de l’exécutif (le conseil présidentiel) et Haftar se verrait reconnaître le commandement suprême d’une armée réunifiée Â», « Une loi non écrite commande l’engagement des combattants de Zinten dans cette nouvelle « bataille de Tripoli Â» : les factions rivales doivent choisir des fronts distincts afin d’éviter tout risque de collision. Le 4 juin, l'ANL évacue son ultime poche urbaine à Gasr Ben Ghechir[226]. [...] La communauté internationale devrait prendre une position claire. Le 13 avril, les forces du GNA reprennent les villes côtières de Sorman et de Sabratha, à 60 et 70 kilomètres à l'ouest de Tripoli[220],[217]. Elle doit être accompagnée d’actions concrètes. Le soir du 5 avril, le Conseil de sécurité des Nations unies se réunit en urgence à huis clos et demande aux forces de pro-Haftar de cesser leur offensive[76]. Assiste t-on à un tournant dans la guerre en Libye? Deux des cinq hangars, où sont détenus au total 600 migrants, principalement érythréens et soudanais, sont touchés[147]. Il accuse alors Haftar d'avoir « trahi l'accord Â» d'Abou Dhabi de février 2019, d'avoir « tenté de le poignarder dans le dos Â», de provoquer « une guerre sans gagnant Â» et de « détruire les efforts des Libyens et de la communauté internationale en vue d'une solution pacifique Â»[74]. L'intervention turque est également condamnée par les États-Unis, l'Égypte, les Émirats arabes unis, l'Arabie saoudite, Israël, la France, la Grèce et Chypre[189],[192],[193],[194]. Or, les Émirats avaient pris l'engagement auprès des États-Unis de ne pas transmettre leurs armes à une tierce-entité[136],[138]. Le 9 avril, l'ONU annonce que la conférence interlibyenne prévue du 14 au 16 avril à Ghadamès est reportée[83]. Quelques mois plus tard, un rapport d'experts de l'ONU déplore « l'intensification d'un conflit par procuration Â» et la violation de l'embargo sur les armes par les Émirats arabes unis, la Jordanie et la Turquie qui acheminent du matériel militaire en Libye « sans vraiment d'effort pour en dissimuler la provenance Â»[143]. À partir de décembre 2019, des rebelles syriens de l'Armée nationale syrienne sont envoyés à Tripoli[51],[52]. L'ANL dispose de blindés et d'armement moderne fournis par les Émirats arabes unis[3]. Le 5 juin, les forces du GNA entrent dans la ville de Tarhounah, le dernier bastion des forces pro-Haftar dans le nord-ouest de la Libye[228],[229]. En Libye, la guerre à l’ombre du coronavirus. En avril 2019, le politologue Wolfram Lacher, chercheur à l'Institut allemand des affaires internationales et de sécurité, déclare : « Cette guerre n’était pas le scénario privilégié par Khalifa Haftar. Elle est lancée par l'Armée nationale libyenne (ALN) contre les forces du Gouvernement d'union nationale (GNA) afin de prendre le contrôle de la capitale, Tripoli, et de ses environs. Le blocus pétrolier imposé le 17 janvier a déjà entraîné des pertes financières dépassant 4 milliards de dollars. Arnaud Delalande, consultant sur les questions de défense spécialisé sur la Libye, fixe également le nombre total de ses combattants à 25 000 hommes, incluant 7 000 réguliers et 18 000 miliciens[25]. Le 8 avril, la Mission d'appui des Nations unies en Libye (MANUL, une mission onusienne uniquement politique) déclare qu'elle reste à Tripoli. Ne levez pas vos armes, sauf contre celui qui choisit de vous affronter. Le maréchal Khalifa Haftar annonce alors « accepter le défi Â» et déclare « le djihad et la mobilisation générale Â», exhortant « tous les Libyens Â» à porter les armes, « hommes et femmes, militaires et civils, pour défendre notre terre et notre honneur Â»[190]. Le 29 juillet, un hôpital de campagne est bombardé au sud de Tripoli, causant la mort de cinq médecins et faisant huit blessés[162]. L'OSDH annonce également le 24 mai la mort d'un premier mercenaire syrien combattant dans les rangs des forces pro-Haftar[20]. L’accord de cessez-le-feu permanent avec « effet immédiat » est né, après cinq jours de discussions à Genève, organisées sous l’égide de l’ONU et de la commission militaire conjointe, constituée de cinq membres représentant le GNA (gouvernement reconnu par l’ONU) et cinq autres le maréchal Haftar (soutenu par des forces étrangères). L'ANL annonce cesser ses opérations dans la banlieue de Tripoli entre le 10 août à 15h00 et le 12 août à 15h00[163],[164]. Libye, la guerre du Moyen-Orient aux portes de l’Europe Face à la possible déstabilisation généralisée de la Méditerranée et du Sahel, la France a un devoir d’ingérence en Libye. Il aurait alors reçu une aide financière de plusieurs millions de dollars pour recruter et payer des combattants et acheter la loyauté de chefs de tribus[41]. C’est une course dangereuse vers l’abîme ». À Tripoli, plusieurs manifestations ont également lieu courant avril sur la place des Martyrs pour dénoncer l'offensive de Haftar[117],[118]. Ces frappes sont menées contre des hangars de véhicules militaires près de l'aéroport international[110]. À un an des élections générales, législatives et présidentielle, prévues en décembre 2021, les déplacés reviennent chez eux dans un pays dévasté par dix ans de guerre. Il passe ensuite à 4 700 début février selon l'OSDH[57], puis à 10 000 fin mai[58],[11] et 11 600 début juin[4]. Le 4 avril, la ville de Sermane, située à 60 km à l'est de Tripoli, est également prise sans combat par les forces pro-Haftar[72]. Elle ne fait pas de victime mais une des pistes d’atterrissage est endommagée et les vols sont suspendus par l'Autorité de l'aviation civile[111],[82]. Libye : coupure d’eau et d’électricité à Tripoli, l’ONU dénonce une « arme de guerre » 12 avril 2020 à 16h36 | Par Jeune Afrique avec AFP Mis à jour le 14 avril 2020 à 08h58 Ne tirez que contre les hommes armés. Il ajoute également que « selon le document des Nations unies, ces mercenaires ont surtout assisté les forces d’Haftar dans les domaines de l’artillerie, du contrôle aérien, de la guerre électronique et du tir de précision (sniper). Le 19 avril cependant, la Maison blanche annonce que le président Donald Trump s'est entretenu par téléphone avec le maréchal Khalifa Haftar quatre jours plus tôt[91],[92],[93]. L'armée égyptienne, l'une des plus importantes du Proche-Orient, compte près de 450.000 hommes, selon l'Agence centrale du Renseignement américaine (CIA). Assurer la sécurité des habitants et protéger leurs biens, ainsi que toutes les institutions de la capitale, relèvent de votre devoir Â», « se tiennent prêts (...) à stopper l'avancée maudite Â», « s'il s'abstient de le faire immédiatement, il susciterait le doute et serait soupçonné de complicité Â», « Nous avons tendu nos mains vers la paix mais après l'agression qui a eu lieu de la part des forces appartenant à Haftar et sa déclaration de guerre contre nos villes et notre capitale (...), il ne trouvera que force et fermeté Â», « tenté de le poignarder dans le dos Â», « détruire les efforts des Libyens et de la communauté internationale en vue d'une solution pacifique Â», « l'arrêt de tous les mouvements militaires, (...) à la retenue, au calme et à la désescalade, à la fois militaire et politique. Le GNA donne pour sa part un bilan de 145 prisonniers et 60 véhicules capturés[16],[42]. Le bilan passe à 117 tués et 150 déserteurs au 7 mars 2020[55], puis à 298 morts à la mi-mai[11] et à 351 morts le 1er juin[4]. Le Gouvernement d'union nationale est reconnu par diverses milices territorialisées, réparties par villes et par quartiers[42]. Des combats ont lieu près des casernes de Yarmouk et Hamza, au sud de la capitale, et les forces pro-GNA annoncent avoir repoussé une attaque dans le secteur de Toghar et détruit quatre chars[175],[176]. Le 20 décembre, le GNA demande à cinq « pays amis Â» — la Turquie, les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Italie et l'Algérie — d'« activer les accords de coopération en matière de sécurité Â»[182]. Le 20 avril, le GNA annonce le lancement d'une contre-offensive[122]. Elle est sur le point d’exploser. Temps de lecture 7 min . Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une résolution réclamant un cessez-le-feu et un accès humanitaire inconditionnel aux zones de combat est proposée par le Royaume-Uni avec le soutien de la France et de l'Allemagne, mais elle se heurte à l'opposition des États-Unis, de la Russie, et des trois pays africains au Conseil de sécurité : l'Afrique du Sud, la Côte d'Ivoire et la Guinée équatoriale, qui jugent le texte trop dur contre Haftar[91],[95],[96],[94],[97].

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